Surprise [Ryoga - Hizaki] -SUJET CLOS-

"Ah, mon petit Hizaki... je vais te montrer ce que c'est, que de se faire prendre par un vrai mec!"


Hizaki n'était vraiment pas sûr d'en avoir très envie... Ses clients habituels, ça lui convenait remarquablement bien... Il ne se permit cependant pas de le préciser, beaucoup trop bien élevé et poli pour ça. De ce fait il ne répondit rien, laissant son client le préparer. Il avait du mal à se détendre, sachant que ce qu'il attendait ne serait pas forcément agréable mais il remerciait silencieusement le plus grand de prendre la peine de le faire tout de même...

Hizaki se retrouva soudain basculé sur le dos, un couinement de surprise lui échappant. Son client captura fougueusement ses lèvres, ses doigts revenant dans son corps sans prévenir. Ah... Pourquoi Yoshiki avait-il laissé un homme pareil franchir la porte de sa chambre..?

"Prêt ma princesse? T'as une capote? Je meurs d'envie que tu me sentes bien entre tes cuisses..."

"Je.. Oui... Un instant..."

Il n'en avait aucune envie mais il se pencha tout de même, fouillant à tâtons dans sa table de nuit pour en sortir un préservatif qu'il glissa dans la main du dominant. Au moins, il pensait à se protéger...

"Je.. Oui... Un instant..."

Il entendit Hizaki fouiller, sans doute dans le tiroir de la table de chevet, avant de sentir sa main glisser un carré de plastique dans la sienne. Il sourit, enfilant aussitôt la capote le long de son membre, avant de revenir surplomber le plus jeune. Il n'allait pas le prendre tout de suite, ce serait trop facile, il s'y attendait. Il s'amusa alors à dévorer son corps, embrassant son cou, mordillant ses tétons, promenant sa langue ici et là sur sa peau satinée qui dégageait une odeur délicatement sucrée, tandis que ses mains parcouraient son corps allègrement, ses doigts revenant se perdre en lui de temps à autre.

"Je suis sûr que t'es magnifique, princesse. En tout cas, t'me plaît beaucoup."

Il avait à peine terminé sa phrase qu'il écarta brusquement ses cuisses, s'enfonçant en lui d'un coup de rein brutal, grognant de satisfaction. Son corps tout entier était divin. Il l'imaginait les yeux fermés, en train de se mordiller les lèvres, ses boucles blondes étalées tout autour de lui sur l'oreiller, alors que son corps pâle frissonnait de partout. Cette vision devait réellement être magnifique, et rien que de se l'imaginer, Ryoga n'en était que davantage excité.

Il ne laissa pas le temps au blond de s'accommoder de sa présence, entamant tout de suite de puissants allers retours en lui, étouffant ses couinements en plaquant sa bouche sur la sienne. Ah, ça devait le changer de ses étreintes sde guimauve, sans aucun doute! Et encore, ce n'était que le début. N'avait-il pas dit qu'il voulait l'entendre crier?

"C'est quoi... ta position préférée?" lui demanda-t-il alors, abandonnant ses lèvres pour embrasser et mordiller son cou alors qu'il repliait ses jambes contre lui pour soulever son bassin et le prendre plus profondément. "Au fait, j'm'appelle Ryoga. Si jamais tu veux crier mon nom..."

Hizaki entendit le bruit du plastique que l'on déchire, frissonnant à l'idée qu'il risquait de ne pas du tout aimer ce qui allait suivre. Le dominant se repencha ensuite sur lui, mordillant ses tétons tout en embrassant son cou, faisant doucement gémir le blond. Il était assez empressé dans sa façon de faire mais ça restait plutôt agréable, pour le moment. En tous cas, Hizaki n'avait pas l'habitude de ce genre de traitements.

"Je suis sûr que t'es magnifique, princesse. En tout cas, t'me plaît beaucoup."

"Je... Je suis ravi de pouvoir vous contenter..."

Hizaki n'eut pas le temps d'en dire plus, son client écartant brusquement ses cuisses, s'enfonçant en lui dans un violent coup de rein. Le blond laissa échapper un couinement de douleur, tout son corps se crispant violemment. Il n'avait pas du tout prévu ça et malgré la brève préparation à laquelle il avait eu droit, ce n'était pas agréable du tout.
Le dominant ne lui laissa pas le loisir de s'habituer à lui, commençant directement ses allées et venues en lui, l'embrassant pour étouffer ses gémissements.

"C'est quoi... ta position préférée?"

"Je... N'en ai pas vraiment..." murmura-t-il d'une voix faible.

Il se laissa faire quand le plus grand releva ses jambes, se mordant la lèvre alors que la pénétration se faisait plus profonde. Mon dieu, pourquoi avait-il mérité un client pareil?

"Au fait, j'm'appelle Ryoga. Si jamais tu veux crier mon nom..."

Au moins, il connaissait son nom... Mais s'il devait crier, ça serait plutôt pour lui demander de s'arrêter... Il n'était pas certain de pouvoir éprouver du plaisir ainsi, même si la douleur s'estompait tout de même peu à peu.

"Je... N'en ai pas vraiment..."

Ryoga fit la moue. D'habitude, tout le monde avait bien une position préférée. Sans doute que lui n'était habitué qu'au missionnaire. Ou qu'il n'était tombé que sur des mauvais coups qui ne lui apportaient pas de plaisir peu importe la position. Tant pis, il déciderait lui-même dans ce cas.

Il continua encore un moment sur ce rythme là, ne laissant pas le temps à son partenaire de souffler un peu, son bassin tapant contre le sien à répétition, brutalement, alors qu'il maintenait toujours bien relevées ses jambes. Haletant, il n'en embrassait pas moins sa peau, n'arrivant pas à se rassasier de ce corps qui dégageait quelque chose de nouveau à ses yeux et qu'il adorait follement.

Mais visiblement, Hizaki n'appréciait pas plus que ça le traitement qu'il lui infligeait, seuls de petits couinements s'échappant de sa bouche de temps à autre, et il n'était pas sûr que ce soit des témoignages de plaisir. S'il n'appréciait pas, il pourrait au moins simuler! C'était bien le rôle d'un prostitué, non? Légèrement frustré et mécontent, il se retira soudain. Si cette position ne lui convenait pas, ils allaient changer.

"Viens par là, Hizaki chéri... Mets toi à genoux sur le lit, et appuie toi contre le mur." lui ordonna-t-il tout en le faisant se redresser et le retournant pour le plaquer contre le mur.

Lui-même à genoux derrière lui, il vint coller son torse au dos du blond, caressant ses cheveux avant de les décaler sur le côté pour déposer ses lèvres le long de son cou, puis sur sa nuque, lui arrachant de nouveau soupirs de plaisir. Quel dommage que ce mec soit une vraie poupée, ce n'était pas très drôle pour lui qui aimait la brutalité au lit. Désireux de l'entendre gémir pour de vrai, il se retint fortement de le reprendre sur le champ, se contentant de frotter son sexe contre ses fesses, tandis que sans cesser ses baisers ses mains se promenaient sur son corps, explorant chaque zone qui pourrait lui donner du plaisir, avant de finalement enrouler ses doigts autour de son entrejambe dont il n'avait pas encore prit la peine de s'occuper. Et là, il allait gémir, enfin?

Ryoga ne changea pas de rythme, continuant à aller et venir brutalement en lui, Hizaki tentant vainement de se faire à ces nouvelles sensations et d'apprécier cette nouvelle façon de se faire prendre. Il n'était pas certain d'y parvenir mais il ne pouvait se permettre de décevoir un client, Yoshiki avait l'habitude d'excellents commentaires sur lui.

Son partenaire sembla comprendre que quelque chose n'allait pas et il se retira brusquement, surprenant le blond qui rouvrit les yeux.

"Viens par là, Hizaki chéri... Mets toi à genoux sur le lit, et appuie toi contre le mur."

Hizaki obéit, se redressant, laissant son client le diriger face au mur, prenant la position demandée. Il sentit alors son partenaire du soir se coller à son dos, frissonnant alors que ses lèvres glissaient dans son cou. Il laissa échapper un soupir, fermant de nouveau les paupières pour se concentrer uniquement sur les sensations ressenties. Le dominant laissait glisser ses mains sur son corps, effleurant des zones sensibles, faisant doucement gémir le blond qui retrouvait peu à peu ses habitudes. Ca, il appréciait réellement. Plus de violence, plus de brutalité, là il pouvait apprécier.
Les doigts de son client s'enroulèrent autour de son entrejambe, faisant couiner le blond. Oh, il ne s'attendait pas à ce qu'il s'intéresse à cette partie de son corps et cette fois, le blond put réellement laisser échapper un gémissement de plaisir, se cambrant contre son partenaire. Oui, ça, il ne pouvait qu'apprécier...

Hizaki ne tarda pas à répondre favorablement à ses stimulations, gémissant avec douceur alors qu'il se cambrait contre lui. Ryoga attira sa tête contre son épaule qu'il puisse prendre appuie contre lui, capturant ses lèvres pour un baiser plein d'ardeur, accélérant ses mouvements autour de sa virilité, caressant ses cuisses et ses bourses de son autre main.

"T'aimes ça, hm?" lui demanda-t-il, frissonnant de désir à l'entendre gémir de plus en plus.

Il ne fallait pas non plus trop lui en demander. Ca suffisait les douceurs, il était temps qu'ils reprennent là où ils s'étaient arrêtés et qu'il satisfasse ses pulsions. Abandonnant son entrejambe, il écarta ses fesses avant de s'enfoncer de nouveau en lui, lui administrant des coups de reins plus lents cette fois-ci, mais tout autant vigoureux. Il avait tout son temps, il allait tester jusqu'à voir ce qui conviendrait le mieux à sa princesse -sans toutefois tomber dans la douceur, il ne fallait pas pousser- et il finirait bien par l'entendre gémir. Et au pire, si ça n'arrivait pas... tant pis, ce n'était pas son problème, s'il ne savait pas apprécier les bonnes choses de la vie.

Il continua un moment de la sorte, Hizaki toujours appuyé contre lui, les bras du brun refermés autour de son corps, continuant de le caresser, avant qu'il ne le repousse pour le refaire s'appuyer contre le mur, agrippant ses hanches pour changer de cadence. Il grogna de satisfaction, assénant une petite claque sur ses fesses. Ca, c'était bon!

Son client l'attira contre lui, Hizaki posant sa tête sur son épaule, se laissant embrasser alors que le dominant accélérait ses mouvements, faisant encore gémir le blond. Il pouvait continuer ainsi autant qu'il le voulait, là Hizaki appréciait vraiment le moment.

"T'aimes ça, hm?"

Hizaki se sentit rougir. Il n'avait pas non plus l'habitude de parler dans ce genre de moment... Et il trouvait ça un peu gênant. Mais il se devait de répondre à son client.

"Oui..." se contenta-t-il de souffler.

Ryoga s'arrêta cependant d'un seul coup, abandonnant l'entrejambe du blond, le laissant pantelant, avant de s'enfoncer une fois de plus en lui. Les coups de bassin étaient cependant plus lents, plus légers et Hizaki put apprécier bien davantage le moment, se remettant à gémir, se laissant aller contre le dominant lorsqu'il l'attira à lui, profitant de ses caresses sur son corps, jusqu'à ce qu'il le repousse contre le mur pour augmenter la cadence.
Hizaki ne souffrait plus et ressentait maintenant réellement du plaisir. C'était moins brutal, moins violent qu'au départ et après le stimulation qu'il lui avait apporté, il se sentait mieux, ne pouvant cependant s'empêcher de sursauter en couinement en le sentant claquer ses fesses. Ils n'avaient vraiment rien en commun, tous les deux...

Ryoga sentit le corps du plus jeune sursauter lorsque sa main s'abattit sur ses fesses et son couinement de surprise ne fit que renforcer son excitation. Pas sûr qu'il ait apprécié, mais il s'en fichait, lui prenait totalement son pied. Il était sûr qu'il manquait toutes sortes de visions fort intéressantes du fait de ne pas voir son partenaire à cause de l'obscurité totale, mais en même temps cela lui laissait le champ libre pour fantasmer encore davantage et imaginer ce qu'il voulait, comme son corps qui se cambrait délicieusement contre son bassin, ou les expressions qui pouvaient animer le visage du plus jeune.

Grognant de plaisir, il accéléra ses coups de reins de nouveau alors qu'il revenait se coller à son dos pour mordiller son épaule, finissant par souffler contre son oreille d'une voix haletante :

"C'est tellement bon, princesse... Ton p'tit cul est tout aussi divin que ta bouche... Tu verras, tu finiras par apprécier ça... Bientôt t'me réclameras de t'en donner plus, de te baiser avec encore plus de force, tu deviendras une vraie salope qui adore se faire baiser dans toutes les positions possibles..."

"C'est tellement bon, princesse... Ton p'tit cul est tout aussi divin que ta bouche... Tu verras, tu finiras par apprécier ça... Bientôt t'me réclameras de t'en donner plus, de te baiser avec encore plus de force, tu deviendras une vraie salope qui adore se faire baiser dans toutes les positions possibles..."

Hizaki se mordit la lèvre. Il n'aimait pas ce genre de langage, ce genre de paroles, surtout dans ce genre de moment gênant... Et en même temps, il se sentit frissonner d'une excitation qu'il n'avait jamais ressenti. Cet homme lui faisait un effet étrange qu'il n'avait jamais ressenti.

"Je... Je serai celui que vous désirez que je sois... Je suis... Honoré de pouvoir vous apporter du plaisir..." murmura le blond.

Il laissa échapper un nouveau gémissement sur ces mots, son partenaire revenant en lui. Il ne ressentait maintenant plus la moindre douleur et arrivait à réellement prendre du plaisir sous ses allées et venues.

"Je... Je serai celui que vous désirez que je sois... Je suis... Honoré de pouvoir vous apporter du plaisir..."

Ryoga sourit. Ouais, c'était vraiment agréable d'être traité comme un bon prince, chose qu'il n'était absolument pas, cela dit. Excité par la situation et les gémissements que laissait échapper Hizaki -c'était loin des cris qu'il désirait, mais c'était tout de même mieux que son silence du début- ses allers et venues en lui se firent encore plus rapides et vigoureuses. Glissant rapidement sa main entre les jambes du blond, il le stimula rapidement pour le faire venir, se retenant d'atteindre lui-même l'orgasme. Et à peine sentit-il son partenaire se libérer qu'il ne lui laissa pas le temps de souffler, se retirant pour le tirer brutalement en arrière et le faire tomber sur le matelas. Retirant le préservatif, il vint au dessus de lui et se termina en se masturbant, éjaculant sur le ventre de son partenaire, sa semence se mêlant à la sienne.

Laissant échapper un petit rire, le brun resta un moment immobile au dessus de lui, reprenant son souffle, avant de glisser sa main sur le ventre du plus jeune, mélangeant leur fluide entre eux, l'étalant sur son corps, finissant par porter ses doigts souillés aux lèvres d'Hizaki.

"Tiens princesse, lèche, goûte comme c'est bon, notre plaisir mélangé..."

Appréciant sa langue qui glissait timidement le long de ses doigts, il glissa son autre main dans ses cheveux pour les caresser.

"C'est pas un endroit pour toi, ici, mon joli. Qu'est-ce que tu fous dans un bordel? T'avais pas d'autres projets dans ta vie? Une princesse, c'est pas censé vivre dans un beau château, avec des fleurs et des plats succulents à déguster tous les jours? Et te v'là en train de lécher le sperme d'un parfait inconnu... Et il est où, ton prince charmant? Tu devrais être dans ses bras en train de recevoir des câlins et t'entendre dire que t'es la plus belle créature du monde et toutes sortes de mots d'amour... mais là... t'as personne pour venir te sauver du monstre que je suis... et je vais revenir, tu sais ça..."

Il ricana. Il préférait de loin sa vie à celle de cette princesse en carton obligée d'écarter les cuisses pour gagner sa vie.

Ryoga accéléra encore ses allées et venues, avant de revenir placer sa main sur son entrejambe, le stimulant vigoureusement, jusqu'à ce qu'il se libère finalement. Le dominant ne lui laissa cependant par reprendre son souffle, l'attirant en arrière tout en se retirant. Hizaki laissa échapper un couinement, sentant finalement son partenaire se libérer sur son ventre. Oh...Heureusement qu'ils étaient dans l'obscurité... Hizaki n'était pas certain qu'il aurait apprécié le voir ainsi au dessus de lui.

Il entendit rire son client, puis le silence le fit, laissant le temps au blond de reprendre son souffle. Il allait de nouveau se retrouver seul et il ne s'en plaignait pas.
Ryoga ne semblait cependant pas décidé à le laisser tout de suite et il se pencha sur lui, Hizaki frissonnant en sentant sa main sur son ventre, qu'il porta ensuite à ses lèvres.

"Tiens princesse, lèche, goûte comme c'est bon, notre plaisir mélangé..."

Hizaki obéit malgré son dégoût, faisant glisser sa langue le long des doigts du dominant, sa main glissant dans ses cheveux.

"C'est pas un endroit pour toi, ici, mon joli. Qu'est-ce que tu fous dans un bordel? T'avais pas d'autres projets dans ta vie? [...] et je vais revenir, tu sais ça..."

Hizaki frissonna à ces derniers mots. Il avait déjà bien compris que cet homme n'était pas totalement net... Et il ne semblait pas prêt à le laisser tranquille.

"Je... Les choses ne se sont pas passées comme je l'aurais espéré. Mais je serais honoré de vous satisfaire à chacune de vos visite."

Il fallait surtout qu'il demande à Yoshiki de ne plus le laisser avec cet homme...

"Je... Les choses ne se sont pas passées comme je l'aurais espéré. Mais je serais honoré de vous satisfaire à chacune de vos visite."

"J'en suis flatté, princesse..." sourit-il avant de l'embrasser. "Mais t'as foiré ta vie. C'est bien beau de te raccrocher à tes rêves en portant tes jolies robes. Mais va falloir que tu te mettes en tête que t'es une simple pute. Une salope juste bonne à sucer des queues. Enfermé dans une prison ou des tarés comme moi vont se succéder pour prendre ton corps comme jouet et satisfaire leurs envies de baise. Tu te sens pas souillé? Sale? T'aime ça, quand des inconnus éjaculent dans ton corps sans que t'aies à donner ton avis? Te dire que t'appartiens à tout le monde, mais qu'au fond, t'es tout seul dans ta merde avec personne pour venir te faire un câlin, quand ça va pas, à qui tu pourrais te confier et dire que t'aimerais que tout s'arrête?"

Il n'avait pas cessé de caresser ses cheveux, presque avec douceur, tout en déposant de petits baisers sur ses lèvres ou ses joues, continuant de promener ses doigts sur son ventre jouant avec le liquide visqueux et froid à présent.

"J'en suis flatté, princesse..."

Il l'embrassa sur ces mots avant de reprendre, sans cesser ses caresses dans les cheveux d'Hizaki.

"Mais t'as foiré ta vie. C'est bien beau de te raccrocher à tes rêves en portant tes jolies robes.[...]à qui tu pourrais te confier et dire que t'aimerais que tout s'arrête?"

Le blond se mordit la lèvre. Bien entendu, il détestait ce métier, il détestait devoir faire ça. Mais il n'avait pas le choix. Son propre père l'avait abandonné ici et chaque paye qu'il recevait lui était directement versé. Il n'avait cependant aucune nouvelle de sa mère et ignorait si son argent servait réellement à financer ses soins.

"C'est ainsi, je n'ai pas la possibilité de me plaindre. Mon rôle est d'apporter du plaisir à ceux qui le demandent et je n'ai pas à discuter davantage." se contenta-t-il de murmurer.

Il était seulement impatient de le voir partir et de se retrouver seul...

"C'est ainsi, je n'ai pas la possibilité de me plaindre. Mon rôle est d'apporter du plaisir à ceux qui le demandent et je n'ai pas à discuter davantage."

Ryoga partit d'un franc éclat de rire. Pas la possibilité de se plaindre? Il était bizarre, lui aussi.

"Si ça t'amuse de jouer le petit soumis et d'obéir toute ta vie à des gens qui te manipulent et te contrôlent parce que t'es trop con pour dire non... peut-être qu'au fond t'aimes bien jouer la traînée derrière tes bonnes manières de princesse mijorée... De toute manière, moi ça m'arrange bien que tu restes là. Je vais pouvoir revenir, encore et encore, me satisfaire avec toi mon tout beau..."

Il avait susurré ces derniers mots à son oreille, d'une voix très douce mais emprunte de perversité. Riant doucement, il lui fit une dernière caresse sur la joue avant de se relever. Il était temps de rentrer.

Il partit à la recherche de ses vêtements à l'aveuglette, se rhabillant au fur et à mesure qu'il les retrouvait, réfléchissant à ce qu'il devait faire. Bien sûr il mourrait d'envie de voir son partenaire. Mais après ces délicieux moments passés avec lui, il craignait terriblement d'être déçu en le voyant en pleine lumière. Et si au final il était moins beau que ce qu'il s'imaginait? S'il ne lui plaisait pas? Il finit par préférer garder le mystère un peu plus longtemps, partant vers la porte.

"Sinon, tu peux toujours te suicider, tu sais. Tu devrais pas manquer à grand monde." lança-t-il  avant d'ajouter "à la prochaine, princesse. Prends soin de ma rose!"

"Si ça t'amuse de jouer le petit soumis et d'obéir toute ta vie à des gens qui te manipulent et te contrôlent parce que t'es trop con pour dire non... peut-être qu'au fond t'aimes bien jouer la traînée derrière tes bonnes manières de princesse mijaurée... De toute manière, moi ça m'arrange bien que tu restes là. Je vais pouvoir revenir, encore et encore, me satisfaire avec toi mon tout beau..."

Hizaki frissonna en entendant le ton de voix de son client. Il lui faisait presque peur... Il détestait travailler ici. Même si jusqu'à présent, il n'avait eu que des clients respectueux, doux avec lui, il n'aimait pas offrir ainsi son corps. Encore moins aujourd'hui, quand il était forcé de faire des choses qu'il n'avait aucune envie de faire...

Enfin, son client s'éloigna de lui. Il l'entendit ramasser ses vêtements pour se rhabiller, retenant un soupir de soulagement. Manifestement, il n'avait pas l'intention de voir son visage et ce n'était pas plus mal...

"Sinon, tu peux toujours te suicider, tu sais. Tu devrais pas manquer à grand monde. A la prochaine, princesse. Prends soin de ma rose!"

Le blond se mordit la lèvre. Qui disait ce genre de chose? C'était absolument horrible...
Enfin, la porte claqua et Hizaki se leva précipitamment, allumant la lumière pour se précipiter dans sa salle de bain. Il avait désespérément besoin d'une douche...

Ryoga descendit pour rejoindre le bureau de Yoshiki. La séance payée, il ne manqua pas de laisser un généreux pourboire pour Hizaki, félicitant une nouvelle fois Yoshiki pour ce choix, lui indiquant qu'il adorait son employé et reviendrait très vite pour le revoir. Prenant garde de ne pas se faire voir de Byou qui trainait non loin, il repartit chez lui, satisfait de cette nouvelle soirée passée avec Hizaki.

Le lendemain, il accompagnait Tsuzuku parti s'acheter une nouvelle montre quand au détour d'une énième bijouterie -le yakuza était très difficile dans son choix- son regard tomba sur un bijou. Un pendentif en forme de rose en or blanc, serti de minuscules rubis. Et aussitôt, il pensa à Hizaki. Même s'il ne l'avait jamais vu, il était certain que ce bijou lui irait à merveille et lui correspondait parfaitement dans sa délicatesse et sa beauté. Regardant le prix, il grimaça avant de partir au comptoir chercher le vendeur. De toute manière, il n'avait personne à qui offrir de cadeaux, et n'avait que faire d'avoir des économies. De l'argent, il en recevait tous les mois...

Sous l'oeil interrogateur de son ami qui l'accusait d'être amoureux mais de ne rien lui dire, il se justifia en lui disant que c'était pour récompenser un bon coup, rien de plus. Comme si lui pouvait un jour tomber amoureux... Ca ne lui était jamais arrivé en plus de 30 ans d'existence alors ce n'était pas maintenant que ça allait arriver. Hizaki était une princesse, il s'adaptait, rien de plus. Il aimait bien ce petit jeu de rôle. Ah, il espérait que Tsuzuku ne lui passe pas dessus d'ailleurs, il risquerait de l'abîmer...

Quelques jours plus tard, quand ses pulsions charnelles refirent son apparition, il retourna au Velvet, suivant le même scénario que les fois précédentes. Et c'est pressé comme jamais à l'idée de revoir le blond qu'il monta quatre à quatre les escaliers le menant à sa chambre, frappant comme de coutume avant d'entrer. Il espérait qu'Hizaki avait bien suivi sa demande en s'habillant, ce soir là...

Après cette désastreuse soirée, Hizaki avait tenté de demander à Yoshiki de ne plus laisser Ryoga l'approcher. Cependant, son patron lui avait seulement remit le généreux pourboire de son client, lui indiquant qu'il l'appréciait beaucoup et qu'il voulait revenir le voir. Le blond ne trouva alors pas le courage de se plaindre, se contentant de s'incliner face à Yoshiki, le remerciant pour sa générosité, avant de regagner sa chambre, un peu démoralisé. Il ne se débarrasserait pas comme ça de cet homme... Il n'avait pourtant rien fait de spécial pour lui plaire, il se contentait d'être lui même...

Hizaki avait donc reprit le cours de sa vie, terriblement inquiet de se dire que cet homme allait sans doute revenir. Il prenait soin de la rose qu'il lui avait offert, se disant que si elle mourrait et qu'il le voyait, il risquait de le lui reprocher. Et il avait des manières suffisamment brutales comme ça, il ne voulait pas lui donner de raison supplémentaire.
Quelques jours passèrent pendant lesquels Hizaki fut tranquille, jusqu'à ce que Yoshiki le prévienne du retour de son nouveau client régulier. Frissonnant à l'avance, Hizaki s'habilla de la façon demandée la dernière fois. Pas de robe cette fois-ci, il avait comprit que ça l'énervait. Et s'il ne suivait pas à la lettre ses instructions, il avait peur de le mettre en colère.
Une fois habillé, il s'installa sur le lit, la lumière éteinte, attendant avec appréhension.

Attendant que la douce voix d'Hizaki lui réponde, Ryoga pénétra dans la chambre, retirant veste et chaussure directement comme à son habitude.

"Bonsoir princesse... Je t'ai manqué?" lança-t-il alors qu'il partait à la recherche du lit, imaginant que le plus jeune l'y attendait déjà. "T'as pris soin de ma rose? Comment elle se porte? Elle n'est pas déjà fanée j'espère..."

C'était juste histoire de faire la conversation le temps qu'il trouve le lit. En soi, il se contrefichait bien qu'elle soit fanée ou non. Quoique s'il lui annonçait qu'il l'avait jetée sans aucune considération, cela l'agacerait sûrement. Déjà qu'il ne faisait jamais de cadeau, si la seule fois où il en faisait un l'autre s'en foutait... Ca lui resterait en travers de la gorge.

Le lit trouvé, il grimpa dessus, ne tardant pas à y trouver Hizaki. Glissant ses doigts le long de sa jambe qu'il venait de rencontrer, il les remonta jusqu'à sa cuisse, ravi de voir que ses jambes étaient nues sous un tissu léger et soyeux. Il n'avait pas oublié...
Avançant jusqu'à sa hauteur, il caressa son corps sans cesser de remonter sa main jusqu'à son cou, se penchant alors au dessus de lui pour presser ses lèvres sur les siennes doucement.

"J'étais pressé de revenir te voir, tu sais? J'ai pensé à toi..."

Effectivement. Le soir, dans son lit, quand il s'était masturbé. Mais il n'allait pas le lui préciser de but en blanc alors qu'ils venaient de se retrouver, un peu de tenue face à une princesse, voyons...

"Bonsoir princesse... Je t'ai manqué? Tu as pris soin de ma rose? Comment se porte-t-elle? Elle n'est pas déjà fanée j'espère..."

Hizaki préféra ne pas répondre à la première question, il ne voulait pas risquer d'être impoli ou de mentir délibérément...

"Bonsoir... J'en ai pris grand soin, elle se porte à merveille..."

Il laissa son client avancer jusqu'au lit, restant assit sur le matelas, son coeur s'accélérant alors qu'il se demandait ce qu'il lui avait réservé pour cette fois. Enfin, il sentit un poids à côté de lui, signe que le dominant avait trouvé son chemin. Il sentit ses doigts sur sa jambe, remontant le long de sa cuisse, le faisant frissonner. Au moins, il pouvait directement juger du fait qu'il avait respecté ses attentes. Le plus grand remonta sur son corps, venant finalement l'embrasser.

"J'étais pressé de revenir te voir, tu sais? J'ai pensé à toi..."

"J'en suis flatté... Je ne pense pas mériter tant d'attention..." murmura Hizaki en réponse.

Il était trop bien élevé... Sinon, il aurait fait en sorte de le dégoûter, de faire en sorte qu'il n'ait plus la moindre envie de revenir le voir...

"Bonsoir... J'en ai pris grand soin, elle se porte à merveille..."

Ca ne l'étonnait pas de sa part. Ca lui ressemblait bien de s'en être occupée parce qu'il le lui avait recommandé, sans se poser de questions, juste pour le plaisir d'obéir.

"J'en suis flatté... Je ne pense pas mériter tant d'attention..."

"Dis-toi qu'au moins si tu t'étais suicidé tu m'aurais manqué au moins un peu. Je suis content que tu ne l'ai pas fait, ma princesse..." murmura-t-il ses lèvres à présent perdues dans son cou.

Ses doigts plongés dans ses cheveux, il les caressait doucement tandis qu'il ne cessait de recouvrir sa peau de baiser, s'enivrant de la douce odeur de parfum qu'elle dégageait. Hizaki avait une sorte de pouvoir enchanteur sur lui qui le rendait fou dès qu'il s'en approchait. Et pourtant, tout n'était que ressenti et sensations, puisqu'il ne l'avait encore jamais vu.

Se souvenant de la petite boite qu'il avait dans la poche, il se recula enfin après un dernier baiser sur ses lèvres.

"Je t'ai fait un cadeau... Quand je l'ai vu dans la vitrine ça m'a tout de suite fait penser à toi. J'espère que ça te plaira."

Il sortit l'écrin pour récupérer la chaîne avec le pendentif, jetant la boite plus loin sur le matelas, avant de lui passer autour du cou, essayant de le lui accrocher à l'aveuglette avec quelques difficultés.

"C'est pas facile, dans le noir!" rit-il avant de finalement y arriver.

"Dis-toi qu'au moins si tu t'étais suicidé tu m'aurais manqué au moins un peu. Je suis content que tu ne l'ai pas fait, ma princesse..."

Hizaki se mordit la lèvre à ces mots. Il n'aimait pas du tout qu'il parle de ça à la légère, comme ça...

"Je n'en ai pas du tout l'intention..." murmura-t-il.

Son client s'était mit dans la tête de recouvrir sa peau de baisers, tout en caressant ses cheveux. Hizaki se laissait faire, profitant de ce moment de douceur, qui ne durerait pas, il le savait. Il commençait à connaître son client... Ce dernier vint d'ailleurs l'embrasser, avant de reprendre la parole :

"Je t'ai fait un cadeau... Quand je l'ai vu dans la vitrine ça m'a tout de suite fait penser à toi. J'espère que ça te plaira."

"Un cadeau..?"

Il ne s'attendait pas à ça... Pas du tout. Ryoga était définitivement un homme étrange... Il l'entendit chercher dans ses poches et il s'approcha de lui, glissant quelque chose autour de son cou.

"C'est pas facile, dans le noir!"

"Un collier.... Merci beaucoup. Je suis sûr qu'il est magnifique..."

C'était étrange, il était touché. Il ne s'attendait vraiment pas à un cadeau de la part de cet homme... Il avait l'air froid et mauvais, il lui avait clairement qu'il n'était pas quelqu'un de bien et là... Il lui offrait un cadeau.

"Pourquoi est-ce que vous voulez toujours que la pièce soit plongée dans le noir..?" murmura-t-il finalement.

"Je n'en ai pas du tout l'intention..."

"Tant pis" murmura-t-il d'un ton presque déçu.

Il aimait bien, quand les gens se suicidaient à cause de lui.

"Un cadeau..?"

Le ton surpris du blond lui fit plaisir. Finalement, c'était lui qui semblait le surprendre le plus dans l'histoire.

"Un collier.... Merci beaucoup. Je suis sûr qu'il est magnifique..."

"Tout aussi magnifique que toi, sans le moindre doute..." murmura-t-il en glissant ses doigts sous son menton pour diriger son visage vers le sien et revenir l'embrasser.

"Pourquoi est-ce que vous voulez toujours que la pièce soit plongée dans le noir..?"

Ryoga rit doucement. Il s'attendait à cette question, un jour ou l'autre.

"Parce que je suis horriblement laid et difforme recouvert de cicatrices partout et que me voir ferait débander n'importe qui." grogna-t-il d'une voix menaçante.

Le silence se fit et le brun ne put alors s'empêcher d'éclater de rire en imaginant tout ce qui pouvait bien se passer dans la tête de son partenaire.

"Je déconne. Quoique je suis un peu... particulier. Mais tu ne trouves pas ça encore plus excitant, de ne pas se voir? Juste se fier à nos sens, le toucher, l'odorat, l'ouïe... le goût" ricana-t-il "le plaisir est décuplé. Pour moi, en tout cas. Ca permet de fantasmer encore plus."

"Tant pis"

Comment ça, tant pis? Il semblait presque déçu... Il était vraiment malsain cet homme, il lui faisait réellement peur.

"Tout aussi magnifique que toi, sans le moindre doute..."

Hizaki rougit un peu, encore plus perturbé. Il pouvait passer d'un caractère à un autre terriblement rapidement, Hizaki ne savait plus quoi penser du tout.

"Je vous remercie..." murmura le blond.

"Parce que je suis horriblement laid et difforme recouvert de cicatrices partout et que me voir ferait débander n'importe qui."

Un silence s'installa, Hizaki restant silencieux, sans savoir quoi répondre. Il était vraiment sérieux? Il n'avait pas senti de cicatrice sur son corps... Mais ça pourrait expliquer pourquoi il venait voir des prostitués, c'était sans doute plus simple...
Tout à ses réflexions, il entendit soudain son client éclater de rire.

"Je déconne. Quoique je suis un peu... particulier. Mais tu ne trouves pas ça encore plus excitant, de ne pas se voir? Juste se fier à nos sens, le toucher, l'odorat, l'ouïe... le goût le plaisir est décuplé. Pour moi, en tout cas. Ca permet de fantasmer encore plus."

Particulier? Il ne savait pas ce qu'il entendait par là... Mais oui, il n'avait pas tort.

"Oui, c'est vrai... Je comprends mieux..."

Ce n'était pas habituel, mais c'était un concept intéressant.. Sur bien des points, Hizaki trouvait cet homme intéressant. Mais il lui faisait peur.

"Oui, c'est vrai... Je comprends mieux..."

"Bon, c'est bien beau de discuter, mais si on passait aux choses intéressantes, hum?" répliqua-t-il aussitôt pour couper court à leur discussion.

Ses doigts glissèrent de nouveau dans ses cheveux et il plaqua ses lèvres sur les siennes pour un long baiser passionné, le faisant basculer en arrière sur le matelas. Il en profita alors pour promener ses mains sur son corps, revêtu cette fois de la nuisette dont le tissu soyeux glissait de manière agréable sous ses doigts. C'était nettement plus agréable que ses robes inutiles.

S'amusant à éveiller son corps par dessus le fin vêtement, il ne cessait d'embrasser ses lèvres ou son cou, souriant quand il rencontrait parfois le collier. Il était pressé d'être à la prochaine fois pour qu'il lui dise ce qu'il en pensait! Bien rapidement ses mains s'insinuèrent cependant sous sa nuisette pour remonter sur ses cuisses avant de venir se poser sur son entrejambe. Hum, c'était bien de la dentelle...

"J'suis sûr qu'en pleine lumière tu dois être extrêmement bandant, mon joli..." souffla-t-il alors qu'il venait de faire glisser une bretelle du vêtement de nuit pour croquer l'un de ses boutons de chair de manière coquine.

"Bon, c'est bien beau de discuter, mais si on passait aux choses intéressantes, hum?"

Hizaki grimaça dans l'obscurité. Il se serait bien passé de choses sérieuses, justement... Ca ne l'enchantait pas réellement, même s'il savait que son client était là pour ça et pas pour l'entendre raconter sa vie.
Ryoga glissa de nouveau ses doigts dans ses cheveux, plaquant une fois encore ses lèvres contre les siennes, son corps basculant en position allongée. Les mains du dominant glissèrent sur son corps, faisant frissonner Hizaki. Ses caresses, tout comme ses baisers sur ses lèvres et son cou étaient terriblement excitants. Et comme à chaque fois, le blond appréciait beaucoup cette mise en bouche, sachant bien que la suite serait autrement moins agréable.

"J'suis sûr qu'en pleine lumière tu dois être extrêmement bandant, mon joli..."

Ryoga avait glissé sa main sous la nuisette qu'il portait, constatant par lui même qu'il avait respecté sa demande jusqu'au bout, effleurant son entrejambe, faisant frissonner Hizaki. Il préféra ne pas répondre, lui même n'ayant pas vraiment d'avis sur son physique.
La bretelle de son vêtement glissa, le blond laissant échapper un gémissement alors que son partenaire refermait ses dents sur l'un de ses tétons. A son tour, il glissa ses doigts dans la chevelure du dominant, laissant son corps se cambrer doucement contre le sien. Il aurait tellement apprécié, s'il avait pu rester ainsi tout le long de leurs ébats...