Nom et prénom du personnage :
Zero
Age :
30 ans
Sexe :
Masculin
Position favorite :
Debout contre un mur
S ou M :
Un peu des deux ! Ca dépend du partenaire.
Actif ou Passif :
Actif
Jouet favori :
Tant que c'est agréable...
Statut :
Prostitué.
Taille :
1m72
Signe(s) particulier(s) :
Aucun
Histoire :
Zero était promit à un brillant avenir. Frère cadet d'une famille de trois enfants, vivant dans un quartier plutôt luxueux d'Osaka, avec des parents aimant et travailleurs, rien ne le destinait à une carrière peu glorieuse. Et pourtant, tout peut arriver...
Zero était quelqu'un de très intelligent. Diagnostiqué dès sa naissance comme Haut Potentiel Intellectuel, il savait lire et écrire bien avant tous ses camarades. Alors forcément, à l'école, il s'ennuyait. Et pour passer le temps, il avançait sur le programme scolaire et travaillait déjà sur des devoirs de CM2 alors qu'il terminait à peine le CE2. Et puis il s'occupait de la sorte, puis il s'ennuyait à suivre le programme scolaire. Et plus il s'ennuyait, moins il avait envie d'aller à l'école. Il agaçait ses professeurs, à sans cesse poser des questions trop précises, trop pointues, que ne comprenaient pas les autres élèves et bien vite, le corps enseignant se désintéressa de lui. Alors Zero commença à faire le mur. Il ne venait plus qu'aux examens, qu'il réussissait haut la main. Le programme du collège, il le connaissait déjà sur le bout des doigts et préférait passer son temps dehors, avec les personnes pas vraiment fréquentables qu'il avait rencontrées, que de venir assister aux cours.
Bien entendu, les professeurs prévenaient les parents de Zero mais ces derniers travaillaient beaucoup et le jeune homme avait toujours le temps d'intercepter les courriers, personne ne se doutant de rien, du coup. Zero tomba dans la drogue, merveilleux moyen de se dépasser, d'explorer un nouvel univers encore méconnu. Et ses nouveaux amis connaissaient les bonnes personnes sur Osaka, afin de l'initier à tout ce qui pouvait exister dans ce domaine là...
Les choses se compliquèrent au lycée. Maintenant totalement addict à bon nombre de substances illicites, Zero n'avait plus l'esprit aussi clair. Et le programme était tout de même plus corsé qu'au collège. Le jeune homme décrocha. Sans pour autant être davantage présent en cours. Il faisait acte de présence, de temps à autre, passait les examens en obtenant tout juste la moyenne. Ca suffisait. Ses parents avaient fini par voir le souci, l'emmenant chez un psy, commençant à vraiment s'inquiéter de son avenir. Mais là non plus, Zero n'allait pas.
Il parvint tout de même à avoir son bac, avec la note minimale requise et parti immédiatement pour Tokyo. Il coupa totalement le contact avec sa famille qui tentait vainement de l'aider et de le protéger et se trouva un nouveau groupe d'amis, le même genre de personnes que ceux qu'il fréquentait sur Osaka. Il enchaînait les soirées, les festivals de musiques underground, les rave party. Et quand on lui parlait de ses projets, il répondait toujours la même chose : "Je suis jeune, je profite!" Il avait besoin de cette sensation de liberté.
Et puis un jour se posa le souci de l'argent. S'acheter de la blanche, ça a un certain prix. Et Zero ne travaillait pas. Jusqu'à présent, il avait vécu sur l'argent de poche de ses parents mais maintenant, c'était terminé et il n'avait plus rien. Outre la drogue, le sexe était aussi un excellent échappatoire à cette vie trop bien huilée qu'il avait menée. Alors c'est tout naturellement que ses pas le conduisirent au Velvet. Il n'avait plus aucune considération de lui même alors, un peu plus ou un peu moins...
Caractère :
Zero est quelqu'un qui ne se prend pas la tête. Totalement rebellé contre le système, il profite de chaque instant de sa vie. Il voit son travail au Velvet simplement comme un gagne pain et ne se pose pas vraiment la question de savoir si c'est moral ou non, bien ou pas. Il veut juste pouvoir s'acheter sa prochaine dose, se payer son prochain festival, sans avoir à calculer son argent. Il se fait très facilement des amis, tant que l'on essaye de le ramener sur la voie de la raison. En revanche, il n'est pas d'une grande aide en cas de souci, plutôt partisan du "laisse couler, ça va passer."
